Cela permet malgré tout de sensibiliser les entreprises, qui sont en contact permanent avec leurs fournisseurs et doivent faire ce travail de vigilance absolument clé. Cela n'empêche pas pour autant les États de remplir leur devoir. Le règlement qui vient d'être adopté confie d'ailleurs à ces derniers la responsabilité d'enquêter en cas de suspicion de travail forcé. Les deux actions sont complémentaires et les entreprises ne peuvent pas s'abstraire de leur engagement citoyen et de leur responsabilité sociale et environnementale.