Pour répondre à M. Salmon, des cas liés aux réseaux sociaux, nous n'en avons pas. Cela ne nous est pas encore tombé dessus !
Quant aux affaires prescrites, nous les considérons de la même manière que celles qui ne le sont pas, car il est tout de même possible de déposer une plainte. De plus, ce sont souvent les victimes de faits prescrits qui font émerger la parole des autres, car elles sont exposées à des conséquences moins importantes. Non que ces personnes servent de paratonnerre, mais elles ont bien conscience qu'elles peuvent libérer la parole, ce qui est très important.