Je n'ai pas d'avis particulier sur la première question.
La dette française est détenue à 50 % par des non-résidents. La finance publique fonctionnelle keynésienne préfère quand la dette est détenue par les résidents, car cela évite des « fuites » dans le circuit. L'ouverture dans les années 1980 a été opérée pour pouvoir accéder à une masse de fonds beaucoup plus grande et donc réduire les taux.
Si j'ai bien compris, nous ne savons pas si des fonds souverains étrangers détiennent la dette française. Si tel est le cas, cela ne me semble pas particulièrement grave, sauf si la dette est détenue par des États mafieux ou bandits qui ne respectent pas leur devoir de restitution.