Les mesures prises en matière de dépenses et de prélèvements obligatoires au cours des années 2017-2023 contribuent finalement pour 20 % à 35 % aux 911 milliards d'euros. Je dirais qu'elles y contribuent pour environ 30 %.
Enfin, les services de Bercy avaient prévu que l'élasticité des prélèvements obligatoires serait inférieure à 1, soit environ 0,8 %. Ils avaient donc vu ce retournement, mais pas son ampleur. Je précise que l'histoire n'est pas terminée : le programme de stabilité prévoit une élasticité inférieure à 1 en 2024 et 2025.