La loi Claeys-Leonetti et le présent texte prévoient des situations entièrement différentes : dans un cas, la sédation profonde et continue est décidée à la suite d'une discussion entre l'équipe soignante et la famille du patient ; dans l'autre, le patient – s'il remplit les critères définis à l'article 6 – demande lui-même aux médecins à bénéficier de l'aide à mourir. C'est la raison pour laquelle je suis défavorable à ces amendements.