Ce sont en effet elles qui sont compétentes pour leur donner des informations et leur proposer des dispositifs adaptés.
La rédaction actuelle, qui prévoit que le médecin propose à une personne en situation de handicap de bénéficier « de tous les dispositifs et les droits visant à garantir la prise en charge de ses besoins médicaux, matériels, psychologiques et sociaux », part certes d'une bonne intention – je vous rappelle nos échanges avec notre collègue Peytavie – mais, dans la pratique, ce n'est pas le médecin qui dispose de ces éléments, ce sont les structures d'accompagnement. C'est ainsi que le dispositif a été conçu.