Comme M. de Courson l'a lui-même indiqué, les articles du titre I
En revanche, conditionner le traitement des demandes d'aide à mourir au suivi de cette formation par le médecin conduirait, dans un premier temps, à rendre la loi inapplicable et, de façon pérenne, à remettre en cause la liberté du patient de choisir son médecin.
En conséquence, aujourd'hui, mon avis est défavorable, même si je comprends l'esprit de votre amendement – d'ailleurs comment ne pas le partager ?