Je suis contre ces amendements. On ne prend pas suffisamment en considération la singularité de la demande d'accès à la fin de vie. Si j'étais professionnel de santé, ce seraient l'écoute et le dialogue qui me permettraient d'attester le bien-fondé de la demande. Pourquoi exiger une demande manuscrite de quelqu'un qui n'est peut-être pas en mesure de la produire ? Que faire si l'on trouve un matin la demande manuscrite posée sur la table de chevet du patient – vérifier qu'il s'agit bien son écriture ? Ce n'est pas adapté. On se dirige vers un Cerfa intitulé « Vers l'infini et au-delà »…