Nous travaillons depuis des semaines sur ce projet de loi qui représente un enjeu sociétal tout en touchant à l'intime puisque ces sujets peuvent affecter nos amis ou nos familles. C'est quelquefois très compliqué et nos débats sont empreints d'émotion.
Notre collègue José Beaurain a parlé avec son cœur. Il ne s'agissait pas pour lui de fléchir les uns ou les autres. Même s'il n'appartenait pas à mon parti politique, je me serais quand même levée et j'aurais également applaudi. L'essentiel, quand on subit une maladie neurodégénérative, et plus largement quand on est malade, c'est de pouvoir s'exprimer.