Bien qu'elle ait une dimension subjective et qu'il soit très important de prendre en compte l'appréciation de la personne malade, la souffrance peut être objectivement évaluée par le corps médical au moyen de l'observation des symptômes.
Son évaluation doit donc reposer à la fois sur les déclarations du patient et sur l'analyse objective du corps médical. Nous sommes bien conscients que la prise en charge de la douleur a des progrès à faire, mais, en l'état, je donne un avis défavorable sur ces deux amendements.