Parmi les défenseurs des amendements, certains ont affirmé que nous aurions modifié en commission spéciale la rédaction de la fin de l'alinéa 8. Tel n'est pas le cas. Ce que nous avions fait évoluer, c'est le début de l'alinéa – nous venons d'en parler et de rétablir la rédaction initiale, celle qui avait été proposée par le Gouvernement. Ne faisons pas croire que tout a été bouleversé en commission.
Pour le reste, je ne suis pas favorable à l'ensemble des amendements. Depuis la loi Kouchner, toute personne est libre d'arrêter les traitements. Il n'existe aucune obligation de soins : cela relève de la liberté du patient et on n'a pas à porter de jugement sur sa décision.