Des scandales ont ainsi éclaté chez nos voisins helvètes du fait de l'euthanasie de personnes dépressives : entre 2008 et 2012, 34 % des personnes qui ont eu recours à l'euthanasie souffraient non pas d'une maladie mortelle mais seulement de dépression ; elles auraient pu être soignées.