Je ne suis pas d'accord avec ces amendements car la souffrance psychologique, si elle ne doit pas être niée, est très difficile à évaluer par un tiers et car son incurabilité ne peut pas être affirmée avec une certitude absolue.
Par ailleurs, les capacités de discernement et de prise de décision d'un patient atteint de souffrances psychologiques peuvent être altérées. Il n'est pas rare non plus qu'une personne âgée soit atteinte de troubles cognitifs qui compliquent encore davantage l'évaluation de sa détresse.