Ces amendements sont trompeurs, car en réalité, ils ne permettent pas d'élargir le droit à l'aide à mourir : pour en bénéficier, il est nécessaire de souffrir de douleurs réfractaires, et ce n'est pas nécessairement le cas après un accident, même si on en reste handicapé : les tétraplégiques, par exemple, ne seront pas concernés.
Je répète à l'intention des nombreuses personnes en situation de handicap qui écoutent nos débats et sont très inquiètes à l'idée que le droit à mourir leur soit étendu,…