Je remarque que vous n'avez pas souhaité supprimer la mention de la nationalité française, madame Genevard… Madame la rapporteure, il existerait bien une solution : qu'au cours de la navette parlementaire, Mme la ministre lève le gage, ce qui permettrait à tous de bénéficier de la couverture par la sécurité sociale.
J'espère, madame la ministre, que ce que vous décrivez permettra l'application de cet alinéa aux situations dont nous parlons, mais il y en aura probablement qui n'entreront pas dans ce cadre. D'abord, tous les intéressés ne possèdent pas un titre d'assurance maladie ; ils viennent souvent pour en demander un, lié au travail. Ensuite, les maladies foudroyantes, comme certains cancers, font que le patient n'a pas été au préalable suivi dans les hôpitaux.