Il vise à exclure du dispositif « les personnes dont une maladie ou un trouble psychique ou neuropsychique altère gravement le discernement et l'exercice de leur volonté libre et éclairée », afin d'éviter toute forme d'abus moral et psychologique à leur encontre.
Puisque, madame la ministre, vous fondez tout sur la question du choix, celui-ci doit être totalement libre.