Je vois, chers collègues, que vous êtes tous très pressés d'aborder les débats relatifs aux articles suivants, qui traitent de tous les points que vous évoquez. De grâce, épargnons-nous à présent ces discussions si nous souhaitons les mener sereinement le moment venu. N'encombrons pas nos débats à ce stade de l'examen du texte.