Le sujet fondamental est en fait celui de la voie d'administration et donc de la caractérisation de la substance. Vous avez été contrainte, madame la ministre, de saisir la Haute Autorité de santé (HAS) pour nous obtenir des précisions, du moins des recommandations : la mort sera-t-elle administrée par voie digestive, par voie intraveineuse ? Cette question n'est pas sans conséquences en termes d'accompagnement : le personnel devra être formé en fonction de l'option retenue, ce qui pourrait bouleverser les habitudes thérapeutiques.