Je suis moi aussi favorable à cet amendement de Mme Meunier. Il me semble très raisonnable d'affirmer que l'aide à mourir est un droit et que ce droit est conditionné au respect des critères que nous allons inscrire dans les articles suivants, en particulier à l'article 6.
Madame Genevard, nous ouvrons bel et bien un nouveau droit. Il s'agit non pas d'un droit lié à la société ou au contexte social, mais d'un droit individuel : lorsqu'elle arrive au terme de sa vie, la personne malade doit avoir la possibilité de choisir.