On vous a relaté la situation que vous venez d'évoquer, madame Dogor-Such. Pour ma part, je l'ai vécue. Je vous souhaite sincèrement de ne pas avoir à la vivre.
Ce qui vous gêne, chers collègues, c'est le manque de clarté sémantique du texte. Ce qui me gêne, moi, c'est que vous ne parliez à aucun moment des personnes qui souffrent, qui sont au bout du rouleau et qui espèrent de nous que l'on réponde enfin à leur appel à l'aide.