Au moins, la raison l'emporte : les mots qui conviennent sont enfin utilisés. C'est logique, car le présent texte est très largement inspiré du travail préalable d'Olivier Falorni. Ceux qui étaient déjà présents sous la législature précédente s'en souviennent : en 2021, nous avions discuté de la proposition de loi donnant le droit à une fin de vie libre et choisie, que M. Falorni avait déposée avec nos collègues Sylvia Pinel, Jeanine Dubié et Stéphane Claireaux. Le collègue Falorni est toujours là, à la différence des autres…