Le débat parlementaire a permis de conforter cet objectif. Je veux saluer l'ensemble des collègues parce que nous avons fait en sorte, de façon courtoise et apaisée, que le titre Ier ressorte plus fort qu'il n'était arrivé dans cet hémicycle : je ne peux que m'en réjouir. Nous avons amélioré la réponse primordiale au double impératif que nous adressent nos compatriotes mais surtout les malades, à savoir le droit de ne pas souffrir et le droit de ne pas subir. Je revendique l'idée que cette loi a vocation à être une loi républicaine de liberté, d'égalité et de fraternité…