Le débat doit demeurer respectueux des convictions de chacun car il s'agit d'un sujet intime, sensible et profond. La semaine dernière, nous avons tous démontré que le débat pouvait être apaisé. Je forme le vœu qu'il le demeure, malgré les tentatives d'Emmanuel Macron de le déstabiliser en programmant l'examen du texte en pleine campagne électorale : c'est dire le peu de considération du Président de la République pour le sujet.