Tout d'abord, nous répondrons par écrit aux questions relatives aux mises en demeure.
S'agissant du représentant de l'ONU, par ailleurs un acteur militant, je n'ai pas de commentaire particulier à faire sur ses expressions, pas plus que sur la manière dont les opérations de maintien de l'ordre ont été conduites par mon collègue. Je retiens simplement que les dégradations et autres violences ne sont pas à prouver, la litanie des exactions citées par mon collègue étant des plus illustratives à cet égard.
Le maintien de l'ordre est par ailleurs un sujet très éloigné de celui de cette commission d'enquête.