Les frais de transport des patients atteints par une ALD telle que le cancer ne sont pas systématiquement pris en charge. Avant d'effectuer chaque trajet jusqu'au lieu du traitement, les patients doivent même parfois obtenir, outre la prescription des séances de chimiothérapie ou de radiothérapie, l'accord de la caisse d'assurance maladie et du médecin qui suit le traitement, ce qui constitue un casse-tête, une charge mentale et un stress supplémentaire tout à fait néfaste. Nous proposons donc d'étudier la situation plus en détail dans un rapport qui recommanderait des solutions pérennes, telles que la création ou l'automatisation d'un bon unique de transport durant la période de traitement.