ni au jeu des 49.3 qui, soit coupent court à tout débat, soit nous mettent sous une telle pression que nous devons comprimer en quelques heures la discussion de sujets d'intérêt général.
Qui de mieux placé, pour faire remonter les besoins des différents territoires et des différentes populations, que les élus du peuple ? C'est notre tâche, et elle requiert qu'un moment spécifique lui soit consacré.
Nous souhaitons donc l'adoption de cet amendement, qui viendra d'ailleurs lever les prévenances des collègues qui ont le sentiment qu'il existe une concurrence entre les soins palliatifs et d'accompagnement, d'une part, et l'aide à mourir, d'autre part. Je ne pense pas que ce soit vrai ; mais, avec l'adoption de cet amendement, nous serons certains que c'est faux.