La loi de programmation doit également définir « les financements publics nécessaires pour assurer l'effectivité de cette offre [de soins] », partout sur le territoire national, et – car c'est le nerf de la guerre – « pour réaliser les recrutements suffisants et la formation continue de professionnels ».
Je vous propose donc qu'en complément de l'amendement de Thibault Bazin, nous adoptions les précisions du présent amendement, quitte à aboutir à une rédaction délibérément redondante – la pédagogie est affaire de répétition. Mieux vaut deux amendements plutôt qu'un, afin de nous assurer d'obtenir cette loi de programmation le moment venu.