Or je pense – nous aurons l'occasion d'en débattre – que nous n'avons pas le droit d'enchaîner nos proches à nos choix. Perdre un proche est évidemment une tragédie, qui peut à ce titre entraîner des drames familiaux, mais nous n'avons pas le droit, au nom de notre chagrin personnel, de priver ce proche de sa liberté.