La loi Claeys-Leonetti a permis d'offrir à la personne malade une fin de vie qui tienne compte de ses souffrances.
Face à une fin de vie difficile, il est possible d'emprunter trois chemins : soit laisser la personne malade mourir sans l'assister, soit la tuer au moyen d'un suicide assisté ou d'une euthanasie, soit, enfin, l'accompagner vers une mort naturelle en la soulageant pour éviter qu'elle ne souffre.
Avec les soins palliatifs, la France a choisi de ne laisser aucun malade, aucune famille, aucun proche, aucun membre du corps médical face au choix terrible de donner la mort. Ce choix grandit notre société ; la voie correspondante doit être préservée et même renforcée. Je propose donc d'ajouter un article après l'article 1er