Il obéit à la même logique, en proposant qu'une personne de confiance puisse ester en justice. En droit administratif, il est assez courant qu'une association se substitue à un particulier pour défendre ses droits. Dans ce cas d'espèce, il paraît évident qu'en cas de défaillance du patient, mais pas seulement, la personne de confiance, qu'il aura préalablement désignée et qui dispose de certaines prérogatives, puisse déposer un recours devant le tribunal administratif.