C'est bien ce que je lis dans l'exposé sommaire.
Vous parliez il y a un instant de la reconnaissance des soignants et de leur métier. Apporter une réponse au patient, c'est donner sens à ce métier. Le soignant qui ne souhaiterait pas aller plus loin, c'est-à-dire aller vers l'aide à mourir, fera valoir la clause de conscience. Il conservera donc ce que vous estimez être sa dignité si on s'en tient à votre exposé sommaire. Cela ne posera aucun problème dans son travail.
La clause de conscience protégera les soignants…