On supprime en outre la supervision psychologique, pourtant obligatoire, des médecins du service. J'ai reçu hier ces médecins, qui sont des femmes, à ma permanence. Elles m'ont dit avoir du mal à comprendre qu'un projet de loi prévoie le développement des soins palliatifs mais que l'on diminue les moyens dans les unités existantes telles que la leur.