Mesdames et messieurs les députés, merci de ce vote. Je voudrais d'abord me féliciter de la tenue des débats que nous avons eus, sous la houlette des différents présidents de séance, avec l'ensemble des groupes ; ils ont permis d'opposer les visions et de poser la question de l'avenir de l'agriculture. Il est heureux pour le monde agricole que nous ayons pu les mener.
Ce texte constitue une brique importante, notamment en matière d'orientation, de formation et d'installation. Il comporte des mesures de simplification et de souveraineté qui répondent à la crise agricole. D'autres briques compléteront ce que nous avons fait depuis des mois et des années : je pense à la rémunération, à la planification écologique, ou encore à la gestion de crise.
Je conclurai en remerciant les rapporteurs et le président de la commission des affaires économiques pour leur travail, ainsi que tous les parlementaires : quelquefois vifs, nos échanges ont cependant été constructifs. Merci à ceux qui ont coopéré comme à ceux qui se sont opposés. D'un bon niveau, notre débat aura permis de conforter la situation des agriculteurs, de contribuer au renouvellement des générations en agriculture et de promouvoir la souveraineté alimentaire – la seule cause qui vaille. Nous avons œuvré utilement en ce sens.