Cette ambition se traduit par l'inscription de l'agriculture, en particulier de l'élevage et du pastoralisme, comme intérêt général majeur. En tant que député de Haute-Savoie et président du groupe d'études sur le pastoralisme, je salue cette avancée, obtenue en commission et confirmée en séance. Elle montre la volonté de la représentation nationale et le rang où nous désirons placer l'agriculture. C'est le sens aussi de l'objectif des 400 000 exploitations que, parlementaires de tous bords, nous avons voté ensemble, précisément parce que nous défendons l'agriculture à la française.