J'abonderai dans ce sens : la question du sens de la vie, du décès ou de la disparition des proches peut tout à fait être abordée à l'école, au collège ou au lycée. C'est déjà le cas avec des débats philosophiques ou des lectures d'albums. En revanche, je pense comme Cécile Rilhac que l'idée d'une journée nationale serait contre-productive, car ce serait une injonction nouvelle adressée aux enseignants et la demande d'un nouveau moment spécifique dans l'année, alors qu'il y en a déjà beaucoup. Je propose donc à Mme la rapporteure de réécrire cet amendement en vue de la séance publique, en proposant une sensibilisation plutôt qu'une journée nationale.