Je suis sidérée par cet amendement. D'abord, il n'y a plus aujourd'hui un texte de loi qui ne donne lieu à une journée de sensibilisation à l'école primaire. C'est catastrophique. Face à cette multitude d'initiations, d'éveils et de sensibilisations, les enseignants n'en peuvent plus.
En deuxième lieu, il est un fait que certains enfants sont exposés à l'épreuve traumatisante du deuil d'un grand-parent, d'un parent, d'un frère ou d'une sœur. C'est une expérience singulière et terriblement traumatisante, mais il y a des réponses à cela, apportées par des associations qui accomplissent un travail formidable. Je ne connais pas Empreintes, mais je connais Jusqu'à la mort accompagner la vie, qui peut intervenir en classe ou par des visites à la famille. Ne mêlez pas l'école à cela par principe, s'il vous plaît !