Merci, madame la ministre, de prendre en considération ce sujet très sérieux. Il y a des personnes âgées, vulnérables, malades, affaiblies, sans forcément être en fin de vie, qui pourraient être poussées dans la direction de l'aide à mourir par un entourage toxique. Soyons très vigilants. Nous devons protéger les malades qui veulent l'aide à mourir, protéger les malades qui n'en veulent pas, protéger les soignants.