Je tiens à insister, une fois encore, sur un point majeur : nous sommes dans une logique où le patient exprime sa volonté de manière libre et éclairée. Si vous placez une personne, quelle qu'elle soit, entre le médecin et le patient, vous prenez le risque d'une forme d'influence. Certains d'entre vous ont d'ailleurs évoqué les risques de judiciarisation ou les problèmes d'actualisation de la déclaration de personne de confiance. Cela ne veut pas dire que nous ne respectons pas les proches, les gens qui accompagnent le patient.
Avis défavorable.