Dans ces propositions, le plus gênant est le caractère obligatoire de la consultation. On infantilise le patient comme si le fait qu'il soit en fin de vie l'empêchait d'avoir une totale liberté de conscience. Il n'a peut-être pas actualisé la déclaration désignant sa personne de confiance. Mme Fiat nous disait qu'elle en avait déjà changé deux fois ! Imaginez que j'aie désigné mon ancien compagnon, puis oublié de modifier ma déclaration au moment de la rupture. On lui demanderait son avis si j'étais en fin de vie ? Cela me semble compliqué...