Sans refaire le débat d'hier, il faut clarifier certains points. Le volontariat médical a été maintenu dans le texte. Les directives anticipées ne suffisent pas pour bénéficier de l'aide à mourir. Il est important de rappeler qu'à tous les stades, et jusqu'au moment de l'administration du produit létal, c'est la volonté du patient qui prime. Nous écoutons et nous respectons les convictions de chacun. Le texte évolue au cours de son examen en commission. Il est important, d'un point de vue démocratique, de respecter la volonté exprimée par les législateurs.