Intervention de Sandrine Rousseau

Réunion du mercredi 24 avril 2024 à 18h30
Commission spéciale chargée d'examiner le projet de loi relatif à l'accompagnement des malades et de la fin de vie

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSandrine Rousseau :

Docteur Moulias, personne ici n'imagine donner à des enfants le pouvoir d'abréger la vie de leurs parents. La loi précise que cela revient uniquement à la personne elle-même, lorsqu'elle a exprimé le souhait de mourir de façon répétée.

Monsieur Fischer, quelles seraient, selon vous, les conditions qui permettraient une aide active à mourir pour les personnes en Ehpad ? Estimez-vous que cela puisse être effectué au sein des Ehpad ou à condition que les personnes en sortent et, dans ce cas, où cela pourrait-il être effectué et dans quelles conditions ? Face au risque de propagation, qui pourrait donner des idées à certains autres patients, quelles seraient les conditions optimales de respect de la demande de ces personnes ?

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