Professeur Perrigault, docteur Abramovici, je suis favorable à une évolution du droit en matière d'aide active à mourir, limitée à des cas rares. Quels sont les cas complexes qui ne seraient pas couverts par les dispositions actuelles ? La collégialité renforcée que représenterait le comité d'éthique pluriprofessionnel pourrait-elle être une solution dans des situations complexes et rares ?