Je suis au perchoir depuis neuf heures du matin, et nous avons eu jusqu'ici des débats sereins – M. Descrozaille s'est d'ailleurs félicité de leur tenue. Je vous invite collectivement, hommes et femmes à poursuivre en ce sens. Nous disposons de micros, et nous n'avons donc pas, normalement, la nécessité de crier – je l'ai rappelé à M. Lavergne tout à l'heure, ainsi qu'à Mme Couturier. Nous pouvons nous exprimer sans crier…