L'autre raison est que le Gouvernement a laissé les distributeurs réaliser des marges plus importantes sur le dos des agriculteurs biologiques, et a persisté à soutenir de pseudo-labels écologiques tel que le label HVE, qui introduit de la confusion dans l'esprit des consommateurs.
Marie Pochon a donc raison de vouloir rétablir l'objectif qui permettra de soutenir, par des fonds publics pérennes, les investisseurs et les agriculteurs qui souhaitent s'engager dans la filière biologique – une filière bonne pour l'emploi, le climat, la santé et la qualité des eaux. Soutenons-la !