Les femmes en sont donc réduites à arbitrer entre la maternité et la survie de leur entreprise agricole, entre leur vie personnelle et l'activité professionnelle. Nous ne pouvons pas accepter qu'elles connaissent ce dilemme-là. Nous devons les accompagner pour qu'elles puissent maintenir leur activité agricole et mener à bien, en même temps, leur projet d'enfant. Cela nécessite un service de remplacement à la hauteur. C'est le sens de cet amendement qui, je l'espère, réunira un large assentiment.