Il est évident que la représentation des femmes dans les instances, syndicales ou autres n'est pas celle des hommes, et qu'en la matière, des progrès restent à faire. Néanmoins, le service de remplacement, financé par l'État, doit s'appliquer de la même manière aux hommes et aux femmes, sans discriminations.
Je prends note de vos propos, mais il faut que les hommes comme les femmes puissent être délégués syndicaux – idéalement 50 % d'hommes et 50 % de femmes. J'ai vécu en Scandinavie où, sans quotas, cet équilibre existe depuis un siècle. La France devrait être capable d'adopter la même démarche. Avis défavorable.