Je l'affirme depuis le début de nos travaux : il faut mener une réforme fiscale globale, qui n'ait donc pas seulement trait à la transmission.
Par ailleurs, comment répondez-vous aux préoccupations des 50, 60 ou 70 % d'agriculteurs qui ne sont pas issus du monde agricole ? Nous savons très bien que l'essentiel des jeunes qui s'installeront demain n'hériteront pas des terres de leurs parents ou de leurs grands-parents, du moins dans la perspective de les exploiter. C'est pourquoi des outils de portage et d'accompagnement spécifiques sont nécessaires.
Avis défavorable, donc, même si le sujet de cet amendement fera partie des objets de notre réflexion fiscale.