Monsieur le ministre de l'agriculture, je rappellerai au chasseur que vous êtes que tous les perdreaux sont de l'année mais qu'on peut être député sans en être un. Quand on voit qui défend, avec une véhémence sans pareille, un projet de réforme de la fiscalité des droits de succession, on peut s'interroger. Qui est visé ? Croyez-vous vraiment que l'évolution des droits de succession profitera au petit éleveur du Cantal ou du Puy-de-Dôme ?