Il y a quelque chose de curieux dans une démarche aboutissant à lui interdire d'investir. Continuez donc comme ça : le dogme finit par tuer les meilleures intentions. Vous n'allez tout de même pas nous proposer un amendement visant à distinguer des méchants les gentils investisseurs privés, dont un décret en Conseil d'État fixerait la liste ?