Nous soutiendrons cet amendement proposé par le collègue Jean-François Rousset mais – vous y verrez peut-être une coïncidence – fortement inspiré par une proposition du président de la région Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, qui visait à former de jeunes vétérinaires en sixième année d'études dans certains territoires, en favorisant leur installation sur place et en les sensibilisant aux problèmes spécifiques qu'ils pourraient y rencontrer. Mon collègue Echaniz l'avait défendue pour moi en commission des affaires économiques, mais elle n'avait pas eu la chance de recevoir un avis favorable du Gouvernement. S'agissant des vétérinaires amenés à soigner des animaux de rente, il faut inévitablement qu'ils soient formés à des pathologies telles que la tuberculose bovine, la grippe aviaire ou les MHE.
Nous soutiendrons donc évidemment cet amendement qui va dans le sens de ce que nous avions défendu en commission.